Le maraîcher

Histoire

Un partenariat avec 5 AMAP

Le partenariat entre Xavier et l’AMAP des Lapereaux commence en 2008. Xavier fournit actuellement quatre autres AMAP (11e arrondissement de Paris, Chelles, Alfortville, Aulnay-sous-Bois). Les partenariats de Xavier avec les AMAP d’Alfortville et d’Aulnay-sous-Bois ont débuté en mai 2012 et doivent faire passer sa production de 120 à 200 paniers. Pour répondre à l’augmentation du nombre de paniers, l’achat de nouveaux équipements a été nécessaire et depuis 2011, Xavier emploie à temps plein son ouvrier, qu’il embauchait jusque là la moitié de l’année.

Xavier compte beaucoup sur le soutien de ses parents et de ses groupes d’Amapiens pour se développer et pérenniser son exploitation.

Chaque année, Xavier fait une coupure d’un mois en avril dans les livraisons de paniers. Xavier estime que le contenu des paniers est trop pauvre et pas assez varié à cette période de l’année. Cette coupure lui permet de passer moins de temps dans la préparation et la livraison des paniers et plus de temps à ses cultures.

Contrats

Champignons

La philosophie : la qualité plutôt que la quantité

Aidé de son père, ce Mérysien mise sur la qualité de ses produits plutôt que sur la quantité.
« Pour commencer, nous allons produire en petite quantité, faire de la production à la demande en quelque sorte. Les champignons sont vendus directement sur place et chez quelques maraîchers de la région. Ils sont cueillis à la main chaque jour pour garantir leur fraîcheur et leur goût naturel », explique le champignonniste.
Cultiver un champignon n’est pas si facile qu’on pourrait le penser et Bruno Zamblera le sait bien.  Pour que cette plante qui ne produit pas de fleur et dont les organes de fructifications sont cachés puissent pousser, il faut de la chaleur, de la fraîcheur et parfois même de la lumière.

Jusqu’en 2008, Bruno Zamblera vendait une bonne partie de sa production à Rungis. Mais  les prix de vente étaient aléatoires, et dépendaient en particulier des importations de champignons cultivés dans les pays de l’Est (Pologne, Hongrie).
Actuellement, la plupart de la production de la champignonnière est vendue par des contrats avec différentes Amaps de la région parisienne, ou en vente directe: soit au magasin de la champignonnière (ouvert le samedi matin), soit par accords avec d’autres producteurs ou des ventes directes ponctuelles.
Seuls quelques champignons « exotiques » sont encore vendus à Rungis.

Bruno a rejoint notre AMAP en septembre 2011.

La champignonnière

La champignonnière est installée dans une partie d’une ancienne carrière à Méry-sur-Oise, et appartient à la famille Zamblera.
Elle est divisée en cellules séparées; chaque cellule est fermée par une porte ou un plastique et peut être, si besoin, chauffée et éclairée séparément. Le fait d’être sous terre procure une inertie thermique qui réduit les besoins de chauffage. Chaque cellule peut aussi être ventilée par ouverture de fenêtres donnant sur le complexe de caves, si besoin: cela permet de réguler la température, par exemple en Avril-Mai pour réchauffer les cellules. Une fois par an, durant l’été, toutes les cellules sont désinfectées à l’eau de Javel puis ventilées pour éliminer les résidus de désinfectant.

Les champignons

Bruno cultive des champignons de couche dans les nombreuses galeries créées par les précédents exploitants de la carrière.
Une petite dizaine de variétés de champignons y sont produites.
« Pour le champignon de Paris par exemple, nous installons des bacs dans lesquels se trouvent un substrat à base de fumier de cheval et de déchet organique comme la paille. Ce compost est pasteurisé puis on y introduit une matière blanche sous forme de plaquettes, le mycélium », confie Bruno Zamblera.
L’envahissement du mycélium s’effectue alors dans des chambres d’inoculation à 24°C. L’opération va durer une semaine. « Ensuite, on place les bacs dans une autre salle de la carrière pendant deux semaines, à 18°C avec une humidité saturée et une très bonne aération ».

Pointeront ensuite les petits champignons de Paris.
La récolte va s’échelonner sur 8 à 12 semaines.
Chaque variété de champignons a des besoins différents et est cultivée séparément des autres
– Les champignons de Paris sont cultivés entre 13° et 15°; il leur faut juste un peu de chauffage l’hiver, et pas de lumière.
– La plupart des autres champignons (variétés de pleurotes, lentins, pieds bleus) ont aussi besoin de lamême température, mais réclament de 10 à 12h de lumière par jour; Bruno éclaire les cellules la nuit, pour profiter du tarif de nuit pour l’électricité, et de l’éclairage quand il fait sa cueillette au matin.
– Certains champignons (pieds bleus) ont besoin d’une température un peu plus élevée; pour réduire les besoins en chauffage, Bruno produit ces variétés de champignons  seulement en automne et au printemps.

Contrats

Huiles

Présentation du producteur

Les huiles Sous Les Arbres sont en parfaites cohérence avec nos valeurs fondatrices.
Elles sont locales : nous collectons les oléagineux dans un rayon de 150 kms autour de chez nous
Elles sont diverses et variées : c’est le défi que nous tentons de relever chaque année. Ainsi nous produisons désormais des huiles de caméline, de colza, de lin, de noisettes, de noix et de tournesol
Elles sont produites à la commande : nous évitons ainsi de surproduire pour vous livrer des huiles fraiches
Elles sont distribuées à un prix qui ne supporte aucune moins-disance sociale
Elles sont suivies : chaque fois que nous extrayons une huile pour vous, nous vous prévenons. Lorsque sa date de péremption est atteinte nous vous prévenons

Histoire

Vivre « Sous Les Arbres » c’est adopter une démarche qui s’oppose calmement mais fermement aux valeurs établies basées le plus souvent sur l’âpreté au gain, la performance à outrance, l’excès de compétition.
Toutes les activités Sous Les Arbres s’articulent autour des mêmes valeurs fondatrices

Contrats

Poulet

Présentation du producteur

Les poulets au grand air !

Dans ma ferme, les volailles sont élevées dans de grands parcours herbagés (et très bientôt plantés d’arbres fruitiers) et peuvent aller s’abriter quand elles le veulent dans de petites cabanes en bois pour se nourrir, boire ou se reposer.

Je reçois les poussins âgés d’un jour et les élève pendant trois à quatre mois. En moyenne, l’âge d’abattage est de cent dix joursc’est-à-dire quasiment trente de plus que ne l’impose le cahier des charges de l’ Agriculture Biologique.

Les volailles sont nourries uniquement à base d’aliments bio. Dans la suite de mon projetfin 2017, je produirai moi-même l’aliment des volailles en transformant les céréales de mes voisins céréaliers bio. Ainsi, tout le blé et le maïs bio proviendront de l’Essonne et des Yvelines, garantissant une origine locale à plus des deux tiers de la ration. Pour sa démarche, la ferme a reçu le label « Mangeons Local en Ile-de-France, Savoir-Faire d’Ici » par le CERVIA.

Trois souches de poulets cohabitent sur la ferme de l’Orée de Milly :

  • des Marans, à la belle robe noir et rouge, qui produisent des oeufs savoureux à la coquille couleur châtaigne ;
  • des « cou nu » jaune pour la viande, gage de qualité et de rusticité pour l’élevage en bio ;
  • des Gâtinaises, pour les bons repas de fin d’année. Cette volaille toute blanche a été remise au goût du jour pour la qualité exceptionnelle de sa chair. Je participe ainsiavec d’autres éleveursà la réintroduction de cette race régionale dans les élevages franciliens.

Histoire

Récemment installé à Milly-la-Forêt, dans le sud de l’Essonne, j’ai monté mon exploitation autour de l’élevage de volailles bio (poulets et oeufs). Dans quelques années, je pourrai en plus proposer des fruits bio puisque je planterai les parcours des volailles d’arbres fruitiers. Pour voir des photos de la ferme, c’est par ici ! Depuis juin de cette année, je vends mes premiers et délicieux poulets et je suis à la recherche d’Amapiens qui voudraient appuyer mon projet …  tout en se régalant.
 
Je fonctionne en contrat de 1 poulet (voire 2 ou plus !) par mois, livré en camion réfrigéré à Paris. Je propose 3 gammes de poids au choix : ‘petit’ d’environ 1.6 kg, ‘moyen’ d’environ 1.9 kg et ‘gros’ d’environ 2.2 kg.  Pour ceux qui le souhaitent, les oeufs, c’est  6 ou 12 en plus par livraison. Le prix du poulet est unique pour mes amap, soit 11 €/kg. Pour les oeufs, c’est 0,50€ l’unité. 

Contrats

Miel

Présentation du producteur

Rémi vient nous livrer 3 à 4 fois par an, jusqu’à maintenant dans la majorité des cas à Porte de Vanves mais nous réfléchissons à alterner avec le Château ouvrier. Les contrats sont de 40 € ou 60 €, l’Amapien peut s’engager sur un ou plusieurs contrats dans l’année (s’il y a un solde en fin d’année) celui-ci est reporté sur le contrat de l’année suivante.
Les amapiens qui commandent du miel à Rémi soutiennent son activité d’apiculteur et participent au maintien des abeilles dans l’environnement. Ce maintien est très important dans le contexte actuel de forte mortalité des abeilles (liée à différentes causes telles que le varroa et les pesticides) alors que celles-ci jouent un rôle primordial dans la pollinisation et le maintien de la biodiversité.

Histoire

Rémi exerce une apiculture respectant l’environnement et le cahier des charges biologiques avec la certification auprès de l’organisme Ecocert). Il utilise des intrants certifiés bio (cire, nourrissement si nécessaire pour les abeilles l’hiver, produits pour lutte contre l’acarien parasite « Varroa »…) et n’utilise pas d’antibiotique ni d’insecticide pour ses ruches. Rémi privilégie des lieux « sauvages » en forêt ou chez des agriculteurs biologiques. Certains miels n’ont pas le logo AB surl’étiquette en raison de la diversité de la flore butinée selon les périodes de floraisons,notamment les miels toutes fleurs. Mais l’ensemble de la production respecte le cahier des charges AB. Concernant la vente de sa production, Rémi privilégie les partenariats avec les AMAP, à ce jour de nombreuses amap le soutiennent.

Contrats

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